Le théâtre s’élevait au cœur de la ville, strict nonobstant ses bureaux fissurés et son enseigne décolorée. Abandonné pendant plus d’un siècle, il avait à la renaissance logé les plus vieux musiciens de son temps. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses routes désertes. Arthur poussa délicatement les
Arthur resta figé sur la scène, l'attention défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, pas de mouvement, zéro brise relativement importante pour transiger un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaire, à savoir s’il répondait à une popularité indécelable.
Sous les frondaisons d’un land enchanté, la avertissement des contes se perpétuait dans l’écho du vent et le froissement des feuilles. Au cours des millénaires, les fictions inconcevables avaient gorgé des contrées entières où les fées, les trolls et les cavaliers maudits tissaient l’étoffe du remarquable. Dans ce panorama où l’�